laser

les limites du Laser épilatoire

Il faut déjà savoir que le laser épilatoire retire 80% à 90% des poils des zones dites longues durées c’est-à-dire qu’à la fin des séances il reste environ 10%à 20% des poils sous forme de duvet.

De plus il faut savoir qu’il existe des zones d’épilations dites suspensives tel que le visage et le cou chez la femme ou le dos, les épaules chez l’homme. Sur ces zones on retire les poils à un temps T.

Chez l’homme nous ne parlons pas d’épilation définitive mais longue durée car les poils sont plus nombreux chez l’homme de 40 ans que chez l’homme de 30 ans, donc en vieillissant (5-10 ans) il pourra voir de nouveaux poils apparaître, de plus il faut être prudent pour l’épilation des jeunes de moins de 30 ans chez qui le poil n’est pas terminal et où l’on risque l’effet inverse qui est la repousse paradoxale. Dans ce cas là un protocole très strict peut être mis en place.

Chez la femme une pousse des poils peut être due à une stimulation par les hormones, cela pourra créer une résistance relative au laser, il faudra donc associer un traitement hormonal pour une meilleur efficacité.

le poil

Le poil pousse à partir de sa racine, appelée également follicule pileux.

Ce que nous voyons sur la peau est la “flèche” du poil et il s’agit de partie faite de corne et produite par la racine du poil ou follicule.

La croissance du poil est différente chez chaque individu et dépend de l’âge, du poids, du métabolisme, chaque poil passe par trois phases de développement.

La dépilation laser des aréoles des seins comporte-t-elle des risques ?  

La dépilation laser des aréoles

L’aréole du seins fait partie des demandes de dépilation laser fréquentes.

Il s’agit d’une zone assez complexe à traiter pour de multiples raisons:

  • risque de stimulation d’un duvet avoisinant,
  • risque de brûlure s’il y a passage du faisceau sur l’aréole pigmentée,
  • peau fragile,
  • forme de résistance naturelle du poil au soin laser.

Le geste est souvent possible, mais les patientes doivent être informées et le médecin doit bien sélectionner les indications pour se lancer. Il doit aussi savoir dire ‘non’ sur des demandes pour lesquelles le bénéfice/risque et défavorable.